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Sint Maarten
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D'HIER A AUJOURD'HUI

L’île fut découverte par Christophe Colomb le 11 Novembre 1493, jour de la Saint-Martin. Avant 1644, elle fut occupée par les Espagnols, puis les Hollandais commandés par Petrus Stuyvesand (gouverneur de Curaçao) et des Français venus de Saint-Christophe, conquirent Saint-Martin.
En 1648 eut lieu le partage. La légende veut que la frontière fut tracée, après une course à pied au pourtour de l’île, entre un Français vers le Nord et un Hollandais au Sud.
Depuis, ce partage ne fut jamais remis en question et les deux drapeaux flottent en paix dans la même brise, depuis plus de trois siècles.
Sur le plan économique, l’exploitation des Salines a longtemps été l’activité principale surtout côté hollandais.
Malgré le climat assez sec et le sol en partie aride, les plantations sucrières furent très prospères jusqu’à l’abolition de l’esclavage, qui ensuite cessèrent toute activité.
L’économie de l’île entama un long déclin. Celui-ci dura jusqu’aux années 1960, période où commença l’essor du tourisme, notamment dans la partie hollandaise où fut construit un aéroport international.

     

SITUATION ACTUELLE EN PARTIE HOLLANDAISE

Depuis 1919, Sint-Maarten est le siège du Lieutenant Gouverneur des “îles au vent hollandaises” (Territoire de Sint-Maarten - Saba - Statia). Elles sont rattachées aux trois autres territoires, constitués par les “îles sous le vent” au Nord du Venezuela (Aruba - Bonaire - Curaçao) et forment la Colonie Autonome des Antilles Néerlandaises dont le Gouverneur Général et l'Assemblée se trouvent à Curaçao .
Si par le passé, Sint-Maarten tirait ses ressources de la canne à sucre et des Salines, ces temps sont révolus et aujourd'hui, la partie hollandaise prétend au surnom de “Petit Hongkong” des Antilles ; port franc, tout y est hors taxes.
On y construit des hôtels pour attirer le touriste, de préférence américain.
Seul emblème avant tout : le $. Ainsi, le florin (ou “guilder”) sert essentiellement aux opérations administratives.
Tout comme le néerlandais, peu pratiqué car la langue usuelle est l’anglais (souvent mélangé au “papiamento” de Curaçao).

 

 

 

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